mardi 20 août 2013

Jamais deux sans trois



A la mi-juillet, en l'espace de trois jours, trois amies m'annoncent qu'elles sont enceintes et qu'elles vont respectivement accoucher en décembre 2013, janvier et février 2014. Au fond de moi, je suis très contente pour elles. Pour les deux premières, c'est un peu 'normal' car elles sont en couple depuis longtemps et ont déjà un premier enfant qui a 2-3 ans. Pour la troisième, à qui on avait annoncé une pré-ménopause à 36 ans, c'est un joli cadeau! 
Je suis heureuse pour toutes les trois... Mais ça m'a donné le blues. Je suis, somme toute, dans le même cas qu'elles à quelques détails près: séparée et pas en couple, avec un enfant de 5 ans et pas de 2-3 ans, et surtout - c'est là que réside LA différence - je n'ai pas d'homme suffisamment engagé pour donner la petite graine et tout ce qui suivra les 9 mois de gestation! 
Je dois avouer que j'aimerais bien, parfois, être à leur place... Revivre la grossesse et savoir qu'au terme de celle-ci naîtra un petit bout'd'chou à chérir - je fais abstraction ici de toutes les couches à changer, des biberons à préparer, des lessives à enclencher, des nuits en traits tillés, etc.
Sauf que dans 2 cas sur 3, je troquerais le mari!!! Hihi!!

4 commentaires:

livfourmi a dit…

Avoir encore un bout de chou... ce serait tellement sympa.

zieuxbleus a dit…

Je crois qu'en disant ça, on ne pense qu'aux côtés positifs... on a tendance à occulter les moments qui peuvent être moins sympas! Mais oui, ce serait tellement sympa :-)

livfourmi a dit…

C'est vrai qu'il y a pleins de moments où l'on perd patience, où l'on aimerait qu'on nous oublie un peu, où l'on les souhaiterait plus indépendants... mais les rares moments de bonheur sont si merveilleux, que rien que pour cela, on se lance dans l'aventure!

zieuxbleus a dit…

J'ai l'impression qu'on a tendance à oublier le "pire" pour ne garder que le meilleur. Ou alors on garde uniquement le "très pire" en tête ;-)