vendredi 28 septembre 2007

Qui de la fourmi ou du pou...

Quelle galère... je suis seule à ramer aujourd'hui! Au bureau, c'est franchement la dèche.

Livfourmi a la grippe ou un refroidissement (peu importe, elle est pas bien du tout) et donc elle est malade comme un chien... pas comme une fourmi, hein. T'as déjà vu une fourmi malade, toi?


Et Mlle K est retenue à la maison à cause d'une invasion de poux! Y sont vilains ces poux et y z'attaquent au moment où on les attend le moins en plus... c'est super quand on doit laver tous les draps, fringues, foulards, taies d'oreillers et coussins, en plus du chat et de la grand-mère!!


Du coup, avec toutes ces bonnes nouvelles, je crains légèrement la grippe-poux qui me guette au coin du bureau... évidemment avant le week-end, juste pour pas foutre la M***.

Je vais essayer de positiver et de me dire que: "les insectes sont nos amis, ils faut les aimer aussi...."

jeudi 27 septembre 2007

Billets de pougne

J'ai lu dans le Bleu de ce matin, que Georges W. Bush a un truc imparable pour prononcer les noms étrangers lors de ses allocutions: il s'aide de transcriptions (ou billets de pougne) phonétiques! Sarkozy devient "sar-KO-zee", Mugabe s'articule "moo-GAH-bee", etc. Ces béquilles phonétiques ont été découvertes par des internautes sur le site de l'ONU, où une version non expurgée d'un discours du président américain a été publiée par erreur.

Moi qui pensais être la seule à user de ce stratagème lors des contrôles scolaires... Il m'arrivait de passer une partie de veille du test à retranscrire - pas en phonétique, parce que moi je sais lire correctement... c'est pas donné à tout le monde, hein - une partie de mon voc allemand, certains articles du CO ou quelques dates historiques sur une étiquette que je collais au dos de ma règle ou de ma calculatrice. Lorsque j'arrivais le lendemain à mon pupitre, munie de ma jolie plume, d'un stylo-effaceur, de tipex et tout naturellement de ma calculatrice ou règle, je me surprenais à ne plus en avoir besoin. Le fait d'avoir tout recopié minutieusement m'avait aidé à ingurgiter la matière... mais aussi à oublier celle que je n'avais pas retranscrite!

lundi 24 septembre 2007

Bêtement vrai...

J'ai reçu ça par email ce matin. Et comme je l'ai trouvé pas mal du tout, je vous en fait part ci-dessous.

"Que vous soyez fier comme un coq, fort comme un boeuf, têtu comme une mule, malin comme un singe, chaud lapin ou fine mouche, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche.Vous arrivez frais comme un gardon à votre premier rendez-vous, et là, pas un chat! Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Le type qui vous a obtenu ce rancard, avec lequel vous êtes copain comme cochon, vous l'a certifié: "Cette poule a du chien, Une vraie panthère!"C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour. Mais tout de même !Elle vous traite comme un chien. Vous êtes prêt à gueuler comme un putois. Mais non ! Elle arrive. Bon ! dix minutes de retard, il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris, avec sa crinière de lion, est en fait plate comme une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine.Vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par noyer le poisson. Vous avez le bourdon, envie de verser des larmes de crocodile. Vous finissez par vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. Vous avez beau être doux comme un agneau, faut tout de même pas vous prendre pour un pigeon !"

vendredi 7 septembre 2007

Train train quotidien

Non, mais là c'en est trop! Ce matin, je n'ai pas eu de train pour aller au taff'. T'y crois à ça?

Ca a commencé par l'annulation d'un train. Tous les voyageurs se sont donc retrouvés ensardinés dans un seul train (une forte impression d'être dans un wagon à bestiaux). Ensuite, après 10 minutes d'attente en gare, le chef de train annonce un "problème technikrrr" et un "rrrretard indéterminé pour le moment". C'est là que tu regrettes de ne pas avoir eu l'idée de prendre un café et un croissant à l'emporter... mais tu hésites entre descendre du train pour aller t'en payer un et risquer de le voir partir sans toi (le train... pas le café, hein), ou bêtement (ou moutonnement) faire comme tout le monde et attendre la suite des instructions du Kon-trollleuuuur.

Maintenant que tu es installée depuis 15 minutes, un deuxième appel au micro retentit: "tous les voyageurrrrs de la rrrrame 1 doivent passer dans la rrrrame 2. La rrrrame 1 reste immobilisée en gare". Avant de remballer rapidement tes affaires, tu te demandes dans quelle rame tu te trouves... et quand tu vois tous tes petits camarades de voyage plier bagage, tu prend tes affaires vite fait, tu joues des coudes pour descendre la première histoire d'avoir une place potable dans la 2e rame qui est déjà pleine à craquer!

Une fois dans la 2e rame, toujours sans café et sans croissant, tu commences à papoter avec tes petits camarades. Tu croises même des potes de boulot à qui tu n'as jamais adressé la parole... mais dans ce genre de situation, t'as presque l'impression que ce gars-là est ton meilleur pote! Ca fait toujours du bien de ne pas se sentir seule, hein.

Après 20 minutes d'attente, toujours pas de nouvelle du chef de train. Il devait sûrement être planqué sous la banquette ou en train (ah, ah) de prendre un café... Et tout le monde reste là, en quête d'une information qui ne semble pas prête d'arriver. Par désespoir de cause, les fumeurs sortent en griller une, les aficionados du sudoku entament leur 3e grille, les lecteurs relisent le 20 minutes pour la énième fois, les téléphones portables vibrent ou sonnent de plus belle, les gens s'inquiétent ou s'énervent c'est selon.

Là, c'est était trop pour moi: 45 minutes d'attente et aucune information. Je suis descendue du train, je suis retournée au parking, j'ai pris ma voiture et j'ai roulé jusqu'au bureau. Résultat: 1h30 de retard. Et encore, après coup j'ai ouï à la radio que les trains accusaient un retard indéterminé...

Après environ 2 mois de perturbations sur le trafic ferroviaire suisse, les CFF vont augmenter leurs tarifs de 4% (plus sûre du chiffre) au mois de décembre... Suis-je la seule à trouver que c'est "abusé"? Que font-ils de cet argent s'il n'est pas utilisé justement pour améliorer le réseau?

Je suis vénère... mais là, ça va déjà un peu mieux.