jeudi 21 juin 2007

21 juin: en avant la musique!


Pour le premier jour de l'été - on dirait pas mais bon - la fête de la musique s'organise un peu partout! Même à la gare CFF ce matin à 6h45... c'est fou! Un groupe de rock jouait et son chanteur braillait dans son micro.


Un petit peu de pub pour la fête de la musique à Lausanne ce soir, où mon homme joue du jazz avec son groupe et pour ce week-end dans la Cité de Calvin où je compte bien aller faire un tour! Alors n'oubliez pas vos parapluies - même si le beau temps semble revenir pour ce soir, selon les spécialistes... - et partez vous détendre en écoutant les vibrations des instruments tout en savourant un délicieux breuvage et en engloutissant une cochonnerie pleine de gras!!

lundi 18 juin 2007

11h27 : apéro


Je manque d’inspiration depuis quelques temps. Voilà le pourquoi de mes absences sur mon blog et sur les vôtres ! Mais là, j’ai juste besoin de dire que j’ai envie de prendre l’apéro ! J’ai déjà faim et soif, alors que la pause midi n’arrive que dans 30 à 45 minutes… et l’idée de prendre un petit verre de porto ou une coupette de champagne accompagnée de tomates séchées et petites mozzarella me dirait bien ! Alors, partants ??

lundi 4 juin 2007

Question de limite

Tout est question de limite dans la vie. Vous n’avez jamais remarqué ? Qu’est-ce qui fait, qu’à un moment donné, on dépasse ou non les limites ?

La limite entre l’amour et la haine est si infime… on peut, du jour au lendemain, aimer quelqu’un à la folie puis le détester et le fuir comme la peste.
La limite aussi, lorsqu’on a abusé de la boisson, entre être joyeux et être malade comme un chien et devoir se bourrer d’alcaselzer.
Lorsqu’on sent que la dernière bouchée ne va pas passer et qu’on a – expression qui exprime bien ce qu’on veut dire – « les dents du fond qui baignent » et donc que notre estomac a atteint sa propre capacité, sa propre limite.
Si l’une de nos connaissances a fait quelque chose à notre insu ou contre nous, on dit toujours qu’il ou elle a dépassé les bornes, donc les limites !
Lorsqu’on rend notre copie d’examen, juste à la limite du temps qui nous était imparti…
En terme de douleur ou de souffrance, on arrive tous, en fonction de notre capacité à résister à celle-ci, à la limite du supportable, à la limite qui fait qu’on a besoin d’être à tout prix soulagé d’une façon ou d’une autre.
Lorsqu’on a cessé de fumer, il y a toujours un moment où on est à la limite de vouloir une clope pour se sentir mieux… et même après plus de 8 ans d’abstinence, je vous le dis !
Quand on a goûté au fruit défendu, qu’on ne peut malheureusement plus s’en passer, mais qu’il nous a échappé ou qu’il faut attendre, attendre et attendre encore… notre patience à des limites.



Et vous, quelles sont vos limites ?

vendredi 1 juin 2007

Un sourire

L’autre matin, un inconnu m’a remercié pour mon sourire. Je lui ai répondu que cela me semblait normal de sourire. Et bien apparemment pas. C’est ce matin que son compliment m’est revenu à l’esprit. En traversant le quai, comme tous les jours, je croise les mêmes personnes. Et bien qu’on ne se connaisse pas, on se salue et on se sourit mutuellement. C’est bête à dire, mais ça fait du bien de voir des gens souriants dès le petit matin. Ca a le don de motiver pour le reste de la journée, je trouve.

Bon week-end les p'tits loups

Mais qu’est-ce qu’il a ce Georges ?


J’ai lui hier un petit article dans l’Illustré, qui titre « La virilité est l’avenir de l’homme ». Et on lit un peu plus bas : « Il [l’homme] ne doit pas être un doberman (macho) ni un cocker (efféminé). Mais plutôt un setter irlandais, fort et sensible. Car l’homme nouveau, explique Willy Pasini, c’est celui qui concilie virilité et émotion ».

Willy Pasini, psychiatre et sexologue genevois, sort un nouveau livre dans lequel il affirme que l’homme d’aujourd’hui ne sait plus comment se comporter avec les femmes, qu’il a compris que le vieux modèle du macho est définitivement révolu, mais qu’il n’arrive pas encore à en imaginer un nouveau. Il donne également trois modèles de l’homme contemporain :

L’homme féminisé (ex. Hugh Grant), qui a intégré à sa masculinité des caractéristiques typiquement féminines comme la sensibilité, la gentillesse et la réceptivité. Allure un peu négligée, peu de muscles à exhiber.
Le métrosexuel (ex. Jude Law), qui est très attentif à son look, soigné, souvent épilé, bronzé, toujours à la dernière mode… bref, un narcissique qui cultive une beauté non relationnelle.
L’übersexuel (ex. Georges Clooney) qui est l’homme de l’avenir apparemment. Un homme un peu négligé, un peu sauvage, résolument non épilé, encore rude mais sensible, qui donne l’impression de réconcilier le sexe et l’amour.

Ok, je veux bien qu’il ait fait des recherches, qu’il ait pris ou considéré l’avis de beaucoup de monde, mais je n’ai pas lu son livre et l’article de l’Illustré n’est pas très fourni ! On reste vraiment sur sa faim… et on peut se poser la question de la qualité scientifique de l’étude (s’il y a du scientifique là-dessous).

Si j’oublie ces quelques considérations d’ordre scientifique, je ne vois aucun rapport entre un setter irlandais et Georges Clooney ! Bon, y’a peut-être le regard de chien battu, mais les babines ne sont pas tombantes, le poil n’est pas lustré partout et pas de la même couleur, la truffe pas aussi humide, et je passe sur les autres détails !

C’est vrai qu’entre les trois types « d’homo erectus » décrit, mon regard et le reste sont carrément attirés par l’übersexuel… Un p’tit Georges tous les matins au réveil et tous les soirs au coucher, c’est le p’tit dessert avec l’espresso nespresso, c’est l’amertume avec la douceur, le brut avec le raffiné, le dur et le doux et tout cela jour et nuit !


Mon voisin a un setter irlandais… mais mon voisin n’est pas Georges Clooney ! Si c’était le cas, ça se saurait et surtout, JE LE SAURAIS ;-)