A
la mi-juillet, en l'espace de trois jours, trois amies m'annoncent qu'elles sont enceintes et qu'elles vont respectivement accoucher
en décembre 2013, janvier et février 2014. Au fond de moi, je suis très
contente pour elles. Pour les deux premières, c'est un peu 'normal' car elles sont
en couple depuis longtemps et ont déjà un premier enfant qui a 2-3 ans. Pour la troisième, à qui on avait annoncé une pré-ménopause à 36 ans, c'est un joli
cadeau!
Je
suis heureuse pour toutes les trois... Mais ça m'a donné le blues. Je suis,
somme toute, dans le même cas qu'elles à quelques détails près: séparée et pas
en couple, avec un enfant de 5 ans et pas de 2-3 ans, et surtout - c'est là que
réside LA différence - je n'ai pas d'homme suffisamment engagé pour donner la
petite graine et tout ce qui suivra les 9 mois de gestation!
Je
dois avouer que j'aimerais bien, parfois, être à leur place... Revivre la
grossesse et savoir qu'au terme de celle-ci naîtra un petit bout'd'chou à
chérir - je fais abstraction ici de toutes les couches à changer, des biberons
à préparer, des lessives à enclencher, des nuits en traits tillés, etc.
Sauf
que dans 2 cas sur 3, je troquerais le mari!!! Hihi!!
4 commentaires:
Avoir encore un bout de chou... ce serait tellement sympa.
Je crois qu'en disant ça, on ne pense qu'aux côtés positifs... on a tendance à occulter les moments qui peuvent être moins sympas! Mais oui, ce serait tellement sympa :-)
C'est vrai qu'il y a pleins de moments où l'on perd patience, où l'on aimerait qu'on nous oublie un peu, où l'on les souhaiterait plus indépendants... mais les rares moments de bonheur sont si merveilleux, que rien que pour cela, on se lance dans l'aventure!
J'ai l'impression qu'on a tendance à oublier le "pire" pour ne garder que le meilleur. Ou alors on garde uniquement le "très pire" en tête ;-)
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